Jean-Philippe Ritz agit comme un flâneur qui s’approprie des morceaux de murs de l’espace urbain à des fins esthétiques.
Affiches commerciales, graffitis, notifications administratives malmenés par les passants, décolorés par le soleil, lavés par la pluie, subissent, sous l’œil du photographe, une manipulation inventant des images de l’image où interfèrent de nouvelles subjectivités.
Il réalise ainsi des montages poétiques à partir d’éléments hétéroclites.
Pour le spectateur, il s’agit de découvrir dans la superposition des épaisseurs, dans la beauté d’une forme, d’une couleur, d’une tâche d’un graffiti, d’une écriture, l’aspect sauvage et spontané de la vie urbaine, tout en invitant le spectateur à découvrir une œuvre qui interroge. »
2018 - 2022
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